Une recréation dans la Beauté et un autre regard

L'art de l'enfance au début de la vie

L’art et la vie
se confondent
dans la vieillesse.

Georges Braque

L'art de l'enfance à la fin de la vie

 

L’enfance de l’Art au début de la vie… l’Art de l’enfance au bout de la vie !

L’Heure du Sourire édite des jeux de société et des albums créatifs pour rester vivant de cœur et d’esprit. Car ils sollicitent l’esprit d’enfance en soi. Et c’est une force créatrice et joyeuse, inaltérable, qui peut s’exprimer quel que soit l’âge, malgré des diminutions physiques et/ou mentales. Comme moyen accessible à tous pour la rechercher et la cultiver ? Faire entrer l’Art dans son quotidien. Cela, même si ce quotidien est difficile au point de perdre le contact avec son cœur et de conduire au repli sur soi.

Aussi, dans des situations de solitude notamment face au vieillissement, à la maladie de longue durée ou à la maladie d’Alzheimer, au handicap intellectuel inné ou acquis, les personnes qui en souffrent et/ou leurs aidants, ont la possibilité de rencontrer cette énergie de vie. Alors, elle peut leur procurer des moments d’apaisement : ceux qui allègent le poids du présent et offrent un autre regard sur l’existence.

C’est là l’originalité des supports de loisirs de L’Heure du Sourire : renouer le lien avec cette force de vie de l’enfance en soi. Et pour ce faire, ils utilisent les ressorts de l’Art que sont la beauté, l’ordre et l’élévation. Ainsi, les activités proposées ouvrent le regard afin d’apprendre ou de réapprendre à voir le beau autour de soi. Aussi pour en créer et ainsi égayer des jours qui apparaissent ternes. Et puis, ces activités découvrent, ou permettent de retrouver et de développer, des potentiels créatifs souvent méconnus. Et elles apportent plaisir et estime de soi ! Alors pourquoi pas, ne serait-ce que l’heure d’un sourire, suivre cette proposition du philosophe ?

« Cherchons dans les jeux qui amusèrent l’enfant les premières ébauches qui font rire l’adulte.
Partons donc des jeux d’enfants pour en être vivifié, ne serait-ce qu’un moment. »
Henri Bergson